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• Application de la législation et de la réglementation du travail ;
• Consultations sur les problèmes spécifiques au droit du travail ;
• Étude et rédaction de contrats de travail ;
• Ruptures de contrats de travail (mesures disciplinaires, licenciements) ;
• Étude et application des textes relatifs à la participation des travailleurs aux fruits de l'expansion ;
• Système d'intéressement (mise en œuvre, contrôle) ;
• Assistance à la mise en place de représentation du personnel, délégué du personnel, comité d’entreprise, ... ;
• Formation professionnelle continue.
• Consultation sur les questions spécifiques à la sécurité sociale et à la prévoyance sociale (notamment les régimes de retraite) ;
• Consultation sur les systèmes d’intéressement ;
• Établissement des bulletins de paie et de la comptabilité des salaires ;
• Établissement des déclarations de cotisations sociales ;
• Assistance à l'occasion de réclamation et de vérification des organismes sociaux.
• Étude et mise en place ;
• Contrôle.
Voici les principales informations à connaître pour établir la feuille de paie de vos salariés à compter du 1 janvier 2021.
La signature d’une transaction permet à l’Urssaf ou à la Mutualité sociale agricole (MSA) et à un employeur, via des concessions réciproques, d’éviter ou de mettre fin à un litige qui les oppose. Le point sur les règles applicables à ce dispositif.
Au printemps dernier, au moment où l’épidémie de Covid-19 s’est abattue sur notre pays, les pouvoirs publics ont mis en place un certain nombre de dispositifs (aides financières, prêts garantis, report de charges fiscales et sociales…) destinés à permettre aux entreprises, petites, moyennes ou grandes, de traverser la période difficile qui s’en est suivie. Six mois plus tard, l’État continue à apporter son soutien financier aux entreprises, en particulier à celles en proie aux plus grandes difficultés. Voici un point sur les dispositifs, anciens ou nouveaux, dont elles peuvent (encore) bénéficier.
En raison de la crise sanitaire du Covid-19, nombre de salariés ont été contraints d’expérimenter le télétravail. Et selon une étude de l’Anact, une grande majorité d’entre eux souhaitent continuer à en bénéficier au terme de l’épidémie. Principale raison invoquée : une meilleure conciliation entre vie professionnelle et vie personnelle. Côté employeur, le recours au télétravail peut permettre de lutter contre l’absentéisme et de réduire les charges liées aux locaux professionnels. Si vous avez décidé de « sauter le pas », sachez que l’organisation du télétravail dans l’entreprise relève, en grande partie, de la négociation collective.
Le déconfinement, lancé le 11 mai, s’accompagne du retour progressif des salariés sur leur lieu de travail alors que l’épidémie n’est pas terminée. Un retour que les entreprises doivent organiser tout en réduisant les risques sanitaires, mais également les risques psychosociaux qui pèsent sur les salariés.
Du respect des règles liées à la santé, à la sécurité et à la discipline dépendent, en grande partie, la bonne exécution du travail et la qualité de vie dans l’entreprise. Mais encore faut-il que chaque salarié soit avisé de la marche à suivre. Aussi est-il obligatoire pour les employeurs d’au moins 50 salariés, et fortement recommandé pour les autres, d’instaurer un règlement intérieur précisant à chacun les règles de bonne conduite.
Avec l’épidémie de coronavirus, les entreprises sont confrontées à des problèmes d’organisation du travail et à des difficultés économiques inédites. Tout en organisant notre lutte collective contre la dissémination du virus, le gouvernement a adopté des mesures pour les aider à surmonter cette crise d’une ampleur sans précédent. Présentation de ces mesures de soutien fiscales, sociales et financières.
Pour simplifier le dialogue social dans l’entreprise, une instance unique, baptisée « comité social et économique » (CSE), a remplacé les délégués du personnel (DP), la délégation unique du personnel (DUP), le comité d’entreprise (CE) et le comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT). Une instance qui doit être mise en place, si cela n’est pas déjà fait, au plus tard le 31 décembre 2019.
Chaque mois, les employeurs agricoles déclarent à la Mutualité sociale agricole (MSA) les rémunérations qu’ils versent à leurs salariés et calculent le montant des cotisations sociales dont ils sont redevables à ce titre. De même, il appartient aux exploitants agricoles de déclarer leurs revenus servant de base au calcul de leurs cotisations sociales personnelles. La MSA est donc amenée à réaliser des contrôles a posteriori pour s’assurer de la justesse de ces déclarations et du montant des cotisations réglées.Tour d’horizon des principales règles qui régissent ces contrôles.
Le cabinet vous propose de vous accompagner dans votre comptabilité selon vos besoins : mission de présentation des comptes annuels, expertise comptable...
Le Cabinet de la Fiduciaire des Flandres (SFECF) vous soutient dans vos démarches fiscales : obligations fiscales courantes de l’entreprise, optimisations juridiques et fiscales de l’entreprise, fiscalité personnelle du dirigeant et de son pôle familial...
Les collaborateurs de la Fiduciaire des Flandres sont à votre écoute pour vous aider dans la gestion et le financement de votre entreprise tout au long de sa vie : conseil en gestion générale, conseil en gestion financière.
Les équipes de la SFECF vous assistent dans la gestion de vos salariés : étude et rédaction des contrats de travail, établissement des bulletins de paie, conseils en matière de rémunération…
Le Cabinet de la Fiduciaire des Flandres peut vous accompagner à la mise en place de votre système informatique, et à l’organisation d’un système comptable interne.
Les experts de la SFECF vous conseillent en organisation générale, en organisation administrative et en organisation commerciale.
Membre de la Compagnie Nationale des Commissaires aux Comptes à Douai, M. Christophe Frémeaux certifie la régularité et sincérité des comptes annuels de votre entreprise, reflétant fidèlement sa situation financière et son patrimoine.
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